Impact épidémiologique du dépistage du cancer du poumon par scanner thoracique faiblement irradiant dans le département de la Somme

Le cancer du poumon reste un problème majeur de santé publique par son incidence et sa mortalité. Son principal facteur risque est connu, le tabagisme. La possibilité d’un dépistage scanner thoracique faiblement irradiant chez les sujets à a fait l’objet plusieurs études, une réduction la mortalité été démontrée. À suite ces résultats, l’étude DEP KP80 mise en place dans but d’expérimenter ce Somme [1]. Il retrouvé prévalence 2,7% cancers pulmonaires, avec majorité stades I ou II (77%) [2]. s’agit d’une étude rétrospective menée partir des données registre Somme, sur patients ayant présenté pulmonaire diagnostiqué entre mai 2016 décembre 2017. Afin d’évaluer l’impact dépistage, nous avons comparé caractéristiques groupe dépistés au non dépistés. Au total, 644 ont inclus (Fig. 1). Parmi résultats obtenus, on note inversion significative répartition diagnostic deux groupes, prédominance disséminés localement avancés (69%) minorité précoces (31,0%), contrairement aux lesquels retrouvait (77,8%) plus faible proportion (22,2%). Cet effet était directement répercuté survie, différence groupes. On notait également différences significatives groupes concernant l’âge, l’histologie, traitements, délais prise charge. montré département après comparaison dépistés, impact stade diagnostic, permettant traitement curatif, majoritairement chirurgie, net bénéfice survie